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Subtilité du Dérangé dérangeant
4 mai 2006

Bon la suite de Marcus à ma sauce! Attention gore


Bon la suite de Marcus à ma sauce!

Attention gore et gore et ....zarbi!

On touche pas ou alors on demande avant, sauf Warno.

Sinon je mords et j'arrache tout ce qui dépasse compris ?


A son réveil, il ne reconnaît pas tout de suite l’endroit où il se trouve. Une pièce poussiéreuse remplie de cartons remplis de dossiers remplis de feuilles volantes remplies de notes que lui seul peut déchiffrer. Il se rend compte qu’il est chez lui. Il s’est encore endormi sur son bureau, la tête vautrée sur des feuilles souillées par les traces de whisky.

- Merde, j’ai plus d’aspirine… pensa-t-il en se frottant la nuque.

Alors il porte à sa bouche son verre resté posé là. Mais un mégot flotte dans un fond de whisky.

- Et merde.

texte de warno


Il tombe à genoux et vomit le peu de nourriture que contenait encore son estomac. La face couverte de sueur et les bras tremblants, il regarde la flaque verdatre entre ses mains salies.
_Mais merde!
IL se relève difficilement et se soutient au bureau. Par ce même geste, il déséquilibre une pile de dossiers gigantesque qui s'écroule au sol et dans le vomi dans un doux froufrou de papier froissé. Dieux qu'il est heureux Marcus dans son taudit empuantit par l'alcool.
Il se traine jusqu'à la petite salle de bain aussi verdatre que son précédent chef d'oeuvre. Marcus regarde la baignoire d'un air désolé, finallement le bain n'est pas uen bonne idée. Il abdique et se deshabille en 10 minutes sous peine de se briser la nuque s'il tentait d'être plus rapide. Puis, encouragé qu'il est par l'air glacial de la salle de bain, il se glisse sous la douche, tremblant comme un faon qui vient de naitre. IL tourne le bouton d'arrivée d'eau chaude et oh malheur! Un déluge glacé s'abbat sur sa tête douloureuse, son dos raidis et tout son corps. IL pousse un gémissement et sans savoir comment se retrouve à genoux sur le sol de la douche, à l'abris du jet d'eau qu'il n'a pu éteindre. Seul son pied gauche est encore atteint par l'eau glacée qui ne cesse de couler. Marcus pleure presque tellement il en a marre de sa vie.
Quand soudain la sonnette de la porte d'entrée retentit. Il met bien 5 secondes à se souvenir que ce bruit est bien cleui de sa porte d'entrée. IL se remotive, se dit qu'il n'est pas seul et attrape une serviette. La seule de propre dans la salle de bain et la noue autour de ses hanches pour aller ouvrir. IL a soudain un doute, depuis quand n'a-t-il pas entendu cette sonnette detestable ? Au moins deux ans... Cependant la personne qui appuie allégrement sur le bouton n'a pas l'air décidée à attendre deux ans de plus et elle relance la migraine de Marcus en appuyant violement sur l'instrument de torture.
Le pauvre garçon se décide donc à aller ouvrir, claudiquant encore, les jambes raidies par le froid, la tête basse et lourde. Lorsqu'il ouvre la porte...


C'est un véritable cadeau de son destin qu'il voit apparaitre devant lui. Un visage pâle, calme et souriant béatement, des yeux paisibles où flotte une flamme légère de gaieté et d'appréhension. Marcus sourit et s'apprète à parler quand il remarque la lame effilée que la lumière jaune du couloir vient de lui révéler. A peine e-t-il eu le temps de voir le poignard que la délicate et frêle jeune femme au visage si paisible s'avance jusqu'à lui d'un pas rapide et tente d ele poignarder en pleine cage torassique. Pas que celà ne lui sois désagréable qu'une belle jeune femme se frotte à lui, mais lorsqu'il s'agit d'une lame effilée dont elle veut faire usage pour le caresser, c'est autre chose.

Soudain dégrisé, il tente de la repousser d'une main tandis que de l'autre il tient la porte qu'il tente de refermer malgrè le pied qui la retient, d'ailleur bien plus solide que ne la laissait présager la jolie cheville. Cependant, la "charmante" prétendante au meurtre est loin d'être aussi lente que Marcus et profite du bras tendu pour lui infliger un coup savant entre les deux os de l'avant bras. Et par un miracle inatendu, du simplement aux reflexes embrumé de l'homme, Marcus eut un sorceau qui épargna son arthère et ainsi sa vie. Mais ce geste inattendu lui fit comprendre que peut être avait il fait quelque chose de mal...où était-ce une relation sans lendemain à qui il avait promis la lune ?

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Commentaires
Y
heureuse que ca te plaise mon grand<br /> mais en ce moment je vais vraiment mais alors vraiment pas bien alors, la suite sera plus consistante mais surementplus glauque...et plus longue a venir.<br /> mais mercibeaucoup quand meme^^
W
Intriguant, dynamique, original. Et ben dis donc je n'ai qu'une chose à dire: la suite! la suite!
Subtilité du Dérangé dérangeant
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